Hauts de Seine Tourisme

Did you know that nearly three quarters of the territory of the Hauts de Seine are green spaces? From North to South of the Department 11 small hiking trails without particular difficulties between city, parks, and gardens, are available in our downloads section. or e-brochure.

At the gates of Paris, we offer you: the forest of Meudon and its 1095 hectares; the national field of Saint-Cloud, highly charged instead of Royal and Imperial history; 15 departmental parks, including seals, point of departure of the GR 11, or newly opened of the path of the island in Nanterre; the flowing green Parisian South. the wood of Chaville and the Plessis-Robinson; the forest Malmaison or fake-rests and its ponds immortalized by Camille Corot; the blue Promenade and its 12 kilometers along the Seine between Gennevilliers and Rueil-Malmaison.

So many walks to discover, as many sites to visit along their route! This is what we offer.

These circuits have been designed in partnership with the departmental Committee of pedestrian excursion. Without exception, the departures and arrivals are all located nearby d? a station (SNCF, RER, metro or tram). You will also find specified dial d sites? this tourist interest along your route.

These proposed routes will allow the Paris or tourists to discover all of the modern architecture of the 20th century if recent, at the beginning of 21st century. The last century has transformed the Ile-de-France, and the industrial boom has helped the villages forming the small Parisian belt to become the cities we know today. Former working-class areas, areas residential, buildings of offices, these routes are a reflection of our territory: it worked, we live, we move

These circuits have been designed to illustrate the constant evolution of our urban territory who knows however retain its heritage. Evidenced by the profusion of styles architectural (Art Nouveau, Art Deco, International Style), and the presence of big names in French and international architecture (Le Corbusier, Mallet-Stevens, Bofill, Nouvel),

Boulogne Billancourt: the course of the 1930s

Boulogne is rich in buildings pertaining to the application of the five founding points of the contemporary architecture: pilings, rooftop terrace, the free plan, free facade and Windows in length. Such as those  found in the workshop of Dora Gordine and Auguste Perret, or those of the Collinet and Robert Mallet Stevens and Raymond Fisher Dubin, villas or even Windows in bands of Le Corbusier.

Multi-apartment houses stand out also, as the "Molitor" of Le Corbusier building glass blocks, the  Constant Lefranc building bricks and coated concrete, or of Pingusson Ferro-concrete forms that remind those of a liner.

This course proposed and directed by the town of Boulogne, is materialised by a specific signage that will help you understand the creative dynamism of that time. You can complete your discovery of this time at the Museum of the 30's (space Landowski: 28 avenue André Morizet).

English podcast     Map of the stroll

Courbevoie: feet in the Seine, head in the skyscraper

At first a fishermen and vinegrowers village,  Courbevoie owes its rise to the industrial revolution, like many towns in the suburbs of Paris. Today the city thrived in the shadow of "La Défense", but before the creation of the business neighbourhood , Courbevoie had a strongly industrialised period  through the arrival of the railway. At the beginning of the 20th century, Courbevoie welcomes automotive factories, laundries, and manufacturers of chemical and pharmaceutical products. The common point between Bailey, the Solex and Cadum baby? They all  come from Courbevoie!

 The creation of La Defense in 1958 begins the transformation of Courbevoie, the workers blouse gradually left place to the suit, and the glass of La Défense towers. Courbevoie was nevertheless able to retain certain districts that reflect its past. Over your wanderings in the city, you can enjoy an almost complete range of styles  from the  20th and 21st centuries: buildings art deco, mansions, offices and public spaces. The materials used are also very diverse: stone, brick, ceramic, concrete and glass making Courbevoie a rich city of multiple contrasts.

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Issy-les-Moulineaux: l'audacieuse

Au début du XX^ème siècle, Issy-les-Moulineaux fait partie des villes de banlieue qui connaissent la plus forte industrialisation. Elle abrite un nombre important d'usines telles  Javel Lacroix, les peintures Lefranc et bien d'autres encore.

Vous découvrirez au cours de vos promenades en ville une architecture moderne et créative, comme l'école Voltaire en béton préfabriqué poli, des murs en rideaux de verre et une toiture en cuivre oxydé.

L’île Saint Germain, située sur la commune d’Issy-les-Moulineaux, est également un lieu de créativité en matière d’architecture contemporaine.

De nombreuses maisons d’architectes retiendront votre attention, ainsi que la sculpture monumentale en résine de Jean Dubuffet, et le paquebot échoué sur la Seine de Jean Nouvel en acier qui abrite aujourd’hui une agence de publicité.

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Levallois: une ruche qui vit et qui s'active

Levallois présente une intéressante diversité en matière de styles, de matériaux, de standing. D’élégantes façades art nouveau aux frises florales et aux ferronneries toutes en courbes végétales, côtoient les premiers logements sociaux. Les façades de briques sont souvent agrémentées d’appareillages bicolores, ou de motifs en céramiques. Quant à la pierre de taille, elle permet de créer des façades imposantes, agrémentées de balcons en encorbellement comme l’immeuble du Grand Bazar de Levallois.

D’anciens bâtiments industriels évoquent également le passé ouvrier de Levallois, comme l’ancienne chocolaterie Meunier, qui fut tour à tour dédiée à la construction automobile (Delage), à la chocolaterie et à l’horlogerie (Jaeger).

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Meudon :entre Seine et forêt

Une promenade dans les coteaux de Meudon ou sur l’avenue de l’observatoire vous permettra de découvrir de superbes maisons d’architectes, dont certaines peuvent être admirées depuis la rue. Ailleurs, ce sont des ensembles d’habitation, qui marient la brique, le béton, ou la pierre de taille.

L’architecte Jean Prouvé a installé en forêt de Meudon des maisons légères, économiques, et préfabriquées, à l’époque de la reconstruction de l’après guerre. A Meudon la Forêt, Fernand Pouillon a démontré que les grands ensembles d’habitations pouvaient concilier esthétisme et densité. A force de perspectives infinies, de bassins, et de matériaux nobles (pierre de taille), Meudon la Forêt est encore montré en exemple aux élèves architectes. Pouillon est l’homme des grands ensembles et de l’habitat collectif et des grands défis : construire le moins cher possible, avec des standards de qualité aussi élevés que possible.

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Neuilly-sur-Seine : l’art de vivre au quotidien

Neuilly-sur-Seine est idéalement située entre Paris, la Seine et le Bois de Boulogne. Cette proximité avec Paris en fait une ville résidentielle prisée, à l’abri du tumulte de la capitale. Les hôtels particuliers et immeubles chics témoignent de l’expansion qu’a connu la ville à partir du Second Empire. L’arrivée du métro en 1937 relance l’urbanisation de la ville. Neuilly regorge de villas et d’hôtels particuliers de tous styles qui témoignent de la qualité de vie des lieux. Le Corbusier y appliquera son principe du modulor en créant des habitations caractéristiques du style brutaliste auquel il se rattache (les deux maisons Jaoul). D’autres grands architectes des années trente ont également signé des bâtiments à Neuilly, comme Michel Roux Spitz, ou Pierre Barbe.

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Puteaux : aux pieds des tours de verre

Comme ses voisines des coteaux de Seine, Puteaux au milieu du XIX^ème siècle est un village entouré de vignes. (Jusqu’à l’épidémie de phylloxera, l’Ile-de-France est l’un des premiers vignobles de France, avec 42 000 hectares au plus fort de l’activité). L’essor du chemin de fer et la révolution industrielle vont voir péricliter cette activité, et pousser Puteaux vers la modernité.

Le XX^ème siècle va transformer Puteaux : la proximité de Paris, de la Seine, et la main d’œuvre disponible vont inciter de nombreuses usines à s’installer le long du fleuve. De village agricole, Puteaux devient donc comme ses consœurs, une cité ouvrière hérissée de cheminées, elles-même alimentées par des régiments d’ouvriers. Ce passé se retrouve encore au travers des immeubles et des pavillons modestes qui font de certains quartiers de Puteaux de réels havres de paix. La ville est aussi remarquable pour ses équipements publics, et notamment pour son hôtel de ville que l’on doit aux frères Niermans, que vous pourrez rapprocher du groupe scolaire Marius Jacotot, qu’ils ont également réalisé, ou de la cité Lorilleux qui porte aussi leur marque. Un des frères Niermans, Jean, accomplira également la villa Niermans à Boulogne. Les grands principes de l’urbanisme du premier tiers du XXème siècle y sont aisément perceptibles.

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Saint-Cloud : un balcon sur Paris

Cette résidence royale, princière, puis impériale et son vaste parc est un des lieux de promenade les plus fréquentés de l’ouest parisien. Il offre en effet de saisissantes vues sur Paris et sur la vallée de la Seine depuis son élégante terrasse et ses jardins signés Le Nôtre. La notoriété du parc éclipse quelque peu la ville tranquille de Saint-Cloud. On peut pourtant y découvrir de beaux édifices du XXème siècle, signés des plus grands noms de l’architecture de l’entre-deux-guerres : Robert Mallet Stevens, Patout, Faure Dujarric. (Ces architectes ont également conçu des bâtiments à Boulogne-Billancourt : vous les retrouverez dans le Parcours des Années 30).

Saint-Cloud est l’une de ces villes des Hauts-de-Seine qui a su conserver sa morphologie de village, comme en atteste la place de l’église, ultime vestige d’une époque où la campagne arrivait aux portes de Paris. Aujourd’hui, la ville présente un bâti de qualité et d’une grande variété.

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Sèvres : céramiques et belles demeures

Située entre Saint-Cloud et Meudon, Sèvres est une ville paisible, au cadre de vie attractif : le parc du domaine national de Saint-Cloud et la forêt domaniale de Meudon la bordent de chaque côté. Le nom de Sèvres est associé à la céramique du même nom, synonyme d’excellence à travers le monde.
Comme Meudon, Sèvres est une des villes des Hauts-de-Seine qui regroupe un fort patrimoine antérieur au XXème siècle malgré les destructions massives de la guerre de 1870 ou de la seconde guerre mondiale. Sous l’ancien régime, la ville a connu son premier essor grâce à sa situation sur la route de Paris à Versailles.

Sèvres est une ville qu’il faut savoir découvrir, et dans laquelle il faut se perdre au gré des ruelles qui sillonnent les coteaux de Seine. Certains quartiers de Sèvres regorgent de ces petites maisons en pierre meulière que la loi Loucheur a permis de faire construire. Elles témoignent de la frénésie de construction qui a eu lieu au début du XXème siècle, industrialisation et exode rural obligent. D’autres quartiers, tel le quartier Brancas abritent de superbes demeures et hôtels particuliers. Ville principalement pavillonnaire, Sèvres a connu une vague d’urbanisme lourde dans les années 60 et 70, le long de l’avenue de l’Europe. Quelques tours et barres illustrent cette époque dans le centre ville.

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Suresnes : l’urbanisme social de l’entre-deux-guerres

L’arrivée du chemin de fer à la fin du XIXème siècle permet le développement des industries automobiles et aéronautiques. Au XXème siècle, la ville connaît son plus profond changement durant l’entre-deux-guerres. L’essor économique et industriel qui règne sur l’ensemble de la petite couronne pousse les villes à augmenter leur capacité de logement. Henri Sellier, maire de Suresnes, ministre de la santé publique et fervent promoteur de l’amélioration de l’habitat, lance la construction de onze cités jardins en Ile-de-France. Le concept, venu d’Angleterre, consiste à créer de toutes pièces de véritables pôles résidentiels à proximité des lieux de travail. Ces opérations d’aménagement ne se limitent pas au logement, puisqu’il s’agit d’accueillir les ouvriers et l’ensemble de leurs familles. Ainsi, à Suresnes, les immeubles d’habitations, forts modernes pour l’entre-deux-guerres, s’accompagnent-ils de lycées, d’un théâtre, de bains douches de lavoirs, ou d’un foyer pour célibataires.

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La Défense

Toujours en cours d’aménagement, La Défense couvre cinquante ans d’architecture.

La Défense entre aujourd’hui dans une période de renouveau. La reconstruction de tours anciennes et la réalisation de nouvelles constructions vont redessiner le quartier d’Affaires.
Audace architecturale, innovations technologiques,  et mixité fonctionnelle seront les maîtres mots de cette nouvelle vie, résolument placée sous le signe du développement durable.
Pour compléter votre parcours, vous pourrez obtenir de plus amples informations sur la naissance et l’histoire du quartier d’Affaires, en vous rendant au musée situé à l’Espace Info Défense : 15 Place de La Défense, et ce, du Lundi au Vendredi de 9h00 à 17h15.

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